The Present

Est-ce un cadeau ou un truc situé entre le passé et l'avenir ? Autant l'un que l'autre apparemment. Après Sprout, Campbell nous livre une autre production qui joue habilement avec des effets plus vraiment originaux mais qui font toujours mouche : écrans splittés, musique facile à écouter, images de grande qualité et de toute beauté.

L'actualité du surf est là, on est pleinement dans le sujet annoncé par le titre : Sofia et Chelsea sont impressionnantes en Indo, Dane R. est incroyable, Joel T. nous gratifie d'une leçon d'influences historiques à laquelle on adhère ou pas (il faut avouer que ses arguments sont de poids - au passage, on revoit la première vague de Tom C. à J-Bay en 92 sur un quad... toujours aussi magique). Le présent, c'est aussi la plongée dans l'Afrique, le décalage entre ce "hipster" guignolesque de Alex K. et le sourire des portefeuilles vides africains, et pourtant si généreux et amusés par la vie et le rythme.

La (trop) longue séquence sur les alaias, bien qu'impressionnante (des spots mythiques sont chargés...), alliée à un couplet métaphysique en début et fin de film sur l'origine de notre planète sont bizarres, tout autant que la référence à Endless Summer avec les costards. Mais finalement, puisqu'il est donc longuement question de passé dans ce film, pourquoi ne pas se risquer à imaginer l'avenir ?


Et il est dommage que le moment le plus important évoquant le futur ne dure que quelques micro-secondes : enfin, un film destiné à inonder le marché mondial affirme que les planches en bois ont une belle durée de vie et un comportement aquatique excellent (cf. photo de Dan Malloy ci-dessous) ! Merci Danny Hess ! La planche de surf ne serait donc plus un déchet ultime ?

Voici le présent (aux deux sens du terme) attendu.

Les vacances de Monsieur Touzo

C'est un petit film réalisé avec un appareil photo, juste devant l'hotel où Matt a séjourné pendant une dizaine de jours aux Maldives...
Pas la plus belle vague du séjour, pas les meilleures conditions.
Il faut comprendre: le reste des sessions a du être vachement meilleur.
Pas grand chose à ajouter sinon, on sombre facilement dans la jalousie... à part que Matt est ravi de son fish, bien sur ;)

Lohi's, juillet 2009 from Matthias Le Touzo on Vimeo.

un genre d'oeuf rapide

Que faire quand on est shortboarder, que l'on veut garder une planche incisive mais gagner en confort ?
Par exemple, une petite planche dans ce genre là, de 6'0" x 20"1/2 x 2"5/8 qui garde un tail vraiment fin et accrocheur malgré son rocker tendu et ses volumes généreux.

Litmus

Les Litmus-o-philes ou Litmus-o-logues se reconnaîtront...
J'ai encore succombé aux charmes de cette vidéo et encore une fois validé cette citation de Nat Young.

A part ça, pour tous ceux et celles (je suppose peu nombreux) qui n'ont pas encore vu ce film, je le conseille vivement.
C'est déjà un "vieux film" de 1998 mais bon, quand on aime on ne compte pas.

Jeanne strikes again

La précédente noire et rouge a fait un émule satisfait, qui a poussé encore un peu plus loin le bouchon avec les résines teintée et les dérives fixes en bambou.
Classique et classieux.

Grosse gourmandise

Pas grand chose à ajouter: des belles rayures clinquantes, une teinte blanche sur le pont, du polish, une belle dérive etc...
Délectable.

Ach mein Gott !!!

Le mauvais goût fait souvent mouche ?
Ben tant mieux, moi je me bidonne avec ce genre de conneries...
ps: vu sur le blog de Brow Fish.

La bomba (finie)

Vous l'avez déjà vue avant la déco et le glass.
La voici maintenant dans sa version surfable.
Toujours 5'8" x 20" x 2"1/2, montage twinzer plus centrale, ce qui laisse le choix entre twin, twinzer, twin + 1 ou thruster selon les inspirations et les besoins du jour.
A priori, le twinzer devrait être le plus pertinent mais c'est chouette d'avoir le choix en fonction des conditions et des envies.

Mon Dieu quelle soirée...

Le thème de la soirée, c'était "ROSE", j'avais eu des idées plus grotesques et irréalisables les une que les autres...
Mais j'allais pas rester super sobre pour autant.
Juste ce qu'il faut quoi, pas plus pas moins.
Trouver des fringues roses, c'est une formalité et même en poussant le vice, ça passait plutôt inaperçu.
Il fallait donc pousser le soucis du détail un peu plus loin.
Dont acte, décoloration, recoloration, rasage athlétique et en vlà une belle gueule de VRP à la petite semaine.
Reste maintenant une question de taille: que faire de la touffe ?

6'4" long

Si un longboard faisait seulement 6'4" de long et 21"1/2 de large ça pourrait ressembler à ça. On pourrait causer de Stubby, j'aime mieux causer de mini-moi.